Ces paroles ne sont pas une suggestion, mais une déclaration solennelle du Christ sur la séparation finale entre les justes et les méchants.
Nier l’Enfer, c’est fermer les yeux sur une vérité que le Christ a jugée essentielle à révéler pour notre salut. Cet avant-propos est une invitation urgente et solennelle à reconsidérer ce que nous avons pu ignorer ou rejeter. L’enfer n’est pas un mythe destiné à effrayer, mais la conséquence tragique et inévitable d’un rejet délibéré de Dieu et de sa sainte loi. « Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement » (Hébreux 9:27).
Si le Christ, par amour infini, nous a avertis, c’est qu’il existe un moyen d’y échapper. Comment alors éviter cette « triste réalité » contre laquelle il nous a si clairement mis en garde ? Nier son existence implique-t-il qu’elle n’existe pas ? Absolument pas ! La vérité ne dépend pas de notre acceptation, mais de sa nature intrinsèque et de la parole immuable de Dieu. « Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point » (Matthieu 24:35).
Explorons ensemble cette réalité et le chemin vers la véritable espérance, car le temps est court et le jugement approche.
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